par sos-math(21) » lun. 7 oct. 2013 20:15
Bonsoir,
Le plus simple est de revenir à la définition des congruences, avec des relations de divisibilité :
\(p\eq 3n+7\,[26]\) signifie qu'il existe un entier k, tel que \(p=3n+7+26k\)
en multipliant tout par 9 puis en ajoutant 15, on a \(9p+15=27n+78+26\times 9k\) et on peut alors écrire :
\(9p+15=n+26n+26\times 3+26\times 9k=n+26(n+3+9k)=n+26k^{,}\) autrement dit cela signifiera que \(n\eq 9p+15\,[26]\)
Bonne soirée.
Bonsoir,
Le plus simple est de revenir à la définition des congruences, avec des relations de divisibilité :
[tex]p\eq 3n+7\,[26][/tex] signifie qu'il existe un entier k, tel que [tex]p=3n+7+26k[/tex]
en multipliant tout par 9 puis en ajoutant 15, on a [tex]9p+15=27n+78+26\times 9k[/tex] et on peut alors écrire :
[tex]9p+15=n+26n+26\times 3+26\times 9k=n+26(n+3+9k)=n+26k^{,}[/tex] autrement dit cela signifiera que [tex]n\eq 9p+15\,[26][/tex]
Bonne soirée.