par SoS-Math(35) » mer. 22 janv. 2025 20:56
Pour t'en convaincre Samuel, je te remets si dessous la définition d'une fonction puissance :
Si a est un nombre réel, on appelle fonction puissance d'exposant a la fonction définie sur ]0,+∞[ par v(x)=xa = exp(aln(x)).
Son domaine de définition est R∗+.
Si a>0, alors v admet un prolongement par continuité en 0 en posant v(0)=0.
Si α=n est un entier, cette définition coïncide avec la définition classique de xn , et on peut définir la fonction sur R tout entier.
Si a = 1/n, cette définition coïncide avec celle de la racine n-ème et on peut définir la fonction sur R lorsque n est impair.
Par conséquent, son domaine de définition, dans notre exercice est bien ]5; +00[.
Et donc il n' y a pas de sens à évoquer 0 et -3.
sos math.
Pour t'en convaincre Samuel, je te remets si dessous la définition d'une fonction puissance :
Si a est un nombre réel, on appelle fonction puissance d'exposant a la fonction définie sur ]0,+∞[ par v(x)=[TeX]x^{a}[/TeX] = exp(aln(x)).
Son domaine de définition est R∗+.
Si a>0, alors v admet un prolongement par continuité en 0 en posant v(0)=0.
Si α=n est un entier, cette définition coïncide avec la définition classique de [TeX]x^{n}[/TeX] , et on peut définir la fonction sur R tout entier.
Si a = 1/n, cette définition coïncide avec celle de la racine n-ème et on peut définir la fonction sur R lorsque n est impair.
Par conséquent, son domaine de définition, dans notre exercice est bien ]5; +00[.
Et donc il n' y a pas de sens à évoquer 0 et -3.
sos math.